La raison pour laquelle votre maison ne se vend pas
Mettre sa maison en vente, c’est un peu comme préparer un grand spectacle. Vous rangez, vous nettoyez, vous allumez toutes les lumières, vous placez les coussins « juste comme il faut ». Vous avez même pensé aux fleurs fraîches et à la petite odeur de café réconfortante.
Mais après deux, trois mois de mise en marché, toujours rien. Quelques visites, quelques regards curieux… mais pas d’offre sérieuse. Alors la question surgit : « Qu’est-ce qui ne va pas ? »
Et si ce n’était pas vos murs, ni votre toiture, ni votre plancher un peu grinçant… mais l’énergie que vous dégagez ?
L’enthousiasme des débuts
Au début, chaque demande de visite vous remplissait d’espoir. Vous avez même annulé un rendez-vous chez le dentiste pour ne pas rater une opportunité (et entre nous, vous n’avez pas trop regretté 😅).
Vous étiez prêt à tout montrer, tout expliquer, tout défendre. Avec un sourire, bien sûr.
Puis, la fatigue qui s’installe… et les situations folles!
Mais à force de répétitions, l’histoire change.
Un exemple concret ?
Vous recevez un appel : une visite dans une heure, avec des personnes qui sont dans le coin et veulent la voir de suite. Vous ne prenez même pas le temps de prendre leur, noms, de savoir s'ils ont une préqualification bancaire, vous foncez!! ! Vous rangez en vitesse, vous faites disparaître les jouets des enfants, vous cachez le panier de linge sale dans le coffre de la voiture… et puis le chien décide de laisser son « petit cadeau » juste à côté du pipi-pad.
Panique générale. Vous nettoyez aussitôt, mais pendant la visite, vous vous sentez obligé·e de vous justifier :
« Oh, désolé, c’est que mon chien a eu un petit accident, mais c’est propre, je vous assure ! »
« Cette trace sur le mur ? C’est parce que mon fils a testé son nouveau drone dans le salon… »
« Le plancher qui craque ? Non, non, c’est juste qu’il a du caractère ! »
Résultat ? Vous passez plus de temps à expliquer des détails inutiles qu’à laisser les acheteurs admirer votre salon.
Et ce n’est pas tout :
- Le jour où vous avez planqué la vaisselle sale… dans le four. (Et oui, l’acheteur a ouvert la porte 😬).
- Le panier de recyclage qu’on a balancé derrière le cabanon « juste pour cinq minutes ».
- Le voisin qui décide de passer la souffleuse pile au moment où les visiteurs entrent.
Ces petits épisodes, sur le coup drôles (ou pas 😅), finissent par vous épuiser. Vous n’êtes plus dans l’accueil, mais dans la justification, dans le stress. Et cette fatigue… elle se ressent.
L’énergie invisible que perçoit l’acheteur
Un acheteur ne regarde pas seulement la cuisine ou la luminosité. Il capte aussi votre état d’esprit. Même si vous ne dites rien, il ressent la tension, l’urgence, la lassitude.
C’est un peu comme un premier rendez-vous amoureux : si la personne en face de vous vous regarde avec l’air de dire « S’il te plaît, épouse-moi, j’ai déjà réservé la salle pour le mariage », vous prenez vos jambes à votre cou.
Le prix… et le regard neutre
Ajoutons à cela un prix fixé trop haut, souvent avec le cœur plutôt qu’avec la tête. Après tout, votre maison est pleine de souvenirs. Mais pour un acheteur, elle doit être alignée avec le marché, sinon il ne se déplace même pas.
C’est là que l’intervention d’un courtier change la donne :
- il fixe un prix réaliste et stratégique,
- il accueille les acheteurs sans stress ni justification inutile (aucun drame autour d’un, drône ou d'un pipi-pad chez lui 🙃),
- il valorise la maison avec recul et professionnalisme.
Bref, il enlève de vos épaules cette charge invisible qui alourdit vos visites.
Retrouver de la légèreté
Si vous vous reconnaissez dans ces petites scènes (et avouez-le, au moins une fois, vous avez caché quelque chose dans la précipitation !), il est peut-être temps de vous offrir une bouffée d’air frais.
Confier la vente à un courtier, ce n’est pas abandonner. C’est vous donner la liberté de respirer, de retrouver votre énergie, et de maximiser vos chances de vendre au bon prix, sans que chaque visite se transforme en marathon de cache-cache avec les paniers de linge.
👉 Et vous, c’est quoi votre anecdote de mise en marché ? Le chien qui aboie pendant la visite ? Le four rempli de casseroles ? Le voisin qui décide de tondre la pelouse à 8 h du matin ?
Partagez-moi vos histoires, j’adore les entendre. Et si, en plus, vous sentez que votre énergie est à plat, je serai là pour vous aider à transformer cette période parfois stressante en une belle réussite.
Parce qu’au fond, vendre une maison, c’est une transaction… mais aussi une aventure humaine. Et croyez-moi, on gagne à la vivre avec un peu de recul, de légèreté… et même quelques sourires.
